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1 mars 2012

Règle d'or

Bonjour!

Après une longue absence, nous revoiloù de retour avec de nouvelles aventures trépidantes à vous raconter. Pour aujourd'hui, parlons de notre Soirée Gourmande troisième édition.

Nous avons fait une soirée crêpes dans notre cité universitaire pour fêter la fin des partiels, parce que oui, la fin des partiels est un moment incroyablement heureux dans la vie d'un étudiant, il est donc indispensable de fêter ça.

Bref, nous étions entre amis, tous un peu fous et nous avons eu l'occasion de matter THE bogoss. Bien sûr, dans l'optique de cette situation, nous avions mis en place un mantra spécial. Que voici :

Ne pas baver,

Ne pas rougir,

Ne pas siffler,

Ne pas glousser,

Ne pas proférer d'insultes visant à louer sa beauté,

(ex: putain sa mère qu'est ce qu'il est canon)

En gros rester stoïque, de marbre, insensible...

divers-fille-rougit-img

Bref, ça n'a pas marché... x)

Mais nous nous sommes tout de même beaucoup amusés et avons fait plus ample connaissance avec le beau gosse en question, sans arrière pensée, bien entendu. (a)

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6 février 2012

Insectes en folie, l’horreur !

Kafka

 Le premier texte que nous postons date déjà de quelques mois, jour où un livre monstrueux est devenu réalité (ou presque). Voyez par vous-même. Ceci est une histoire vraie.


Insectes en folie, l’horreur !

 

Avant toute chose, voici ma situation géographique : je vis à Nantes, dans une petite chambre d’étudiant, de neuf mètres carrés, salle de bain incluse. Jusqu’au jour d’aujourd’hui, tout allait bien, c’était un espace agréable, bien que ça limite un peu les activités possibles, très bien conçue pour une seule personne. Mais voilà, LA nuit que je vais vous raconter a considérablement réduit mon appréciation de la pièce.

Il est trois heures du matin. Je ne sais pourquoi je me réveille. Je ne me sens pas très bien. Décidant de boire un peu pour me débarrasser de ce malaise, cela m’amène à devoir passer aux toilettes. Ce que je fais. Enfin, ce que je décidais de faire car à peine ai-je ouvert la porte qu’une vision peu ragoûtante me coupe tout envie.

Imaginez une petite bête courant en travers de la salle de bain. Maintenant, imaginez que vous ayez un dégoût, sinon une phobie, le plus total pour tout insecte. Vous voyez un peu le genre ? Eh bien, c’est là que j’en étais maintenant.

Donc, je vois cette bête courir. Je me fige, un frisson désagréable me remontant le long de l’échine. « J’ai envie de vomir », fut ma seule pensée. Ensuite, j’attrapais une chaussure qui trainait non loin et l’abattit sur la « malheureuse » bête. Ouf, sauvée ! Que nenni, braves lecteurs ! D’une curiosité toute morbide que ce soit, je retourne ma chaussure pour examiner la bête. Et que vois-je alors ?! Dieu tout puissant ! La bête bouge ! Une nouvelle nausée me prend et c’est à grand peine que je finalise mon petit meurtre, écrasant définitivement cette créature repoussante dans ma poubelle. L’enlever de ma chaussure fut une autre paire de manches, mais j’y survécus. J’allais refermer la porte de la salle de bain, toute envie pressante envolée.

Là, messieurs-dames, vous pensez sûrement que c’est fini. Détrompez-vous, ce n’est que le début !

Lorsque je me retournais, je vis la deuxième horreur de la matinée : une petite bête plus grosse que la précédente courrait sur le cercle de la poubelle ! Je crus défaillir. Je ne sais où je trouvais le courage nécessaire, pourtant, je repris possession de ma chaussure et l’abattit une seconde fois, d’un coup plus sec, sur le monstre. Elle tomba dans la poubelle, et je dû prendre mon courage –qui s’était alors enfuis en courant- à deux mains pour la chercher et la mettre dans le sac plastique.

Bon. Et maintenant, c’est fini ? Comme j’aurais aimé ! Mais non, comme on dit, jamais deux sans trois…!

Donc, me voilà quelque peu rassurée, je me recouche, le cœur tout de même au bord des lèvres. Mais bon, étant ce que je suis, c’est-à-dire dotée d’une imagination un peu trop fertile, me voilà qui rallume la lumière, histoire de vérifier qu’il n’y a rien à craindre dans mon lit. Grand bien m’en fasse ! Enfin, si on peut dire. A  peine étais-je assis, qu’à la lueur de la lumière, je vis, sous mon bureau, une troisième bête courir. Diable ! Et encore plus grosse que la précédente ! Là, ce fût bien plus long que les deux créatures cauchemardesques d’avant. Je commençais par me dire que « non, ce n’est pas possible, c’est une blague », et me mis à sangloter nerveusement. « C’est quoi ce bordel ?! », me disais-je, « pourquoi moi, d’abord ?! ». Bref, j’étais complètement paniquée. Et pendant ce temps-là, la bête continuait tranquillement son petit bonhomme de chemin, sans se douter de l’effet qu’elle avait sur moi et qui jouait fortement sur la durée –bien écourtée- de son avenir. Lorsque je me décidais enfin à l’écraser, madame –si l’on peut affubler une telle horreur d’un surnom humain-, elle, avait décidé de se caler dans un coin, là où, bien entendu, ma chaussure ne pouvait l’atteindre. Qu’on ne vienne pas me dire que ces choses n’ont pas un minimum d’instinct de survie. Enfin, il me fallait une solution, et je tirais résolument un trait sur le mouchoir. Hors de question que j’approche à plus de 30 centimètresd’épaisseur de cette chose ! Je me résolue donc à la méthode du crayon. Heureusement, j’avais un crayon –un fluo jaune- qui ne marchait plus trop, et dont je pouvais donc facilement me débarrasser sans regrets. Donc, me voilà, armé de mon fluo d’une main et de ma chaussure de l’autre. Je poussais la bête du bout de mon crayon. Celle-ci descendit du mur et une fois au sol, se mit à courir, voire à galoper, dans ma direction. Je crois bien qu’à ce moment-là, mon estomac ne se retourna pas qu’une fois mais plusieurs. Grâce à un réflexe sortit d’on ne sait où –c’est bien connu que je n’ai habituellement aucun réflexe-, j’abattis ma chaussure pour la troisième fois en seulement un quart d’heure, et la retournais ensuite. Oui oui, toujours cette curiosité morbide. Mon estomac fit de nouveau des loopings au creux de mon ventre : la bête était morte, certes, mais elle puait et un liquide blanchâtre en sortait ! Immonde ! Je m’en débarrassais pronto dans la poubelle, essuyant au maximum ma chaussure –que je ne remettrais sûrement plus jamais. Là, je me mis à regarder partout, à la recherche d’une éventuelle quatrième sale bestiole, mais rien en vue. On respire. Je me recouchais donc, mais une fois de plus, et toujours à cause de mon imagination trop fertile, je me relevais, en proie à une panique sans nom. Et s’il y en avait d’autres ? Pleins d’autres ? Et qu’elles étaient plus grosses à chaque fois ? Est-ce qu’une bête géante va débarquer dans ma chambre pour me dévorer ? Où est-ce qu’elles sont déjà en train de comploter dans leur base secrète et qu’elles vont m’attaquer toutes à la fois dans mon sommeil ? Est-ce que leur projet est de me rendre folle ? Ou de m’empêcher de dormir jusqu’à épuisement et mort ? Diantre ! Pourquoi ne vont-elles pas coloniser une autre chambre ? Pourquoi a-t-il fallu que ce soit la mienne ? Je fais le ménage pourtant ! Je parie que c’est la fille d’avant, une grosse flemmarde dégueulasse, qui ne faisait jamais le ménage ! Elle les élevait, dans le but diabolique de reprendre possession de la chambre de force si jamais on l’y délogeait ! J’en suis sûre, j’ai même retrouvé une dizaine de ses bestioles derrière le frigo –mortes, fort heureusement !

Vous n’avez jamais vu quelqu’un en plein délire ? Maintenant c’est fait. Bref. Quoiqu’il en soit, je décidais d’écrire ce que vous êtes en train de lire, déjà pour penser à autre chose –enfin, façon de parler hein, vu ce que j’écris-, et surtout pour calmer ma crise de nerfs.

Et là, c’est fini ? Bein non, toujours pas. Moi aussi j’y ai crû. Même qu’écrire avait eu son effet, j’étais bien plus calme. Mais non, il faut croire qu’une quelconque force supérieure en avait décidé autrement, parce qu’une quatrième petite bête se mit à se dandiner sur mon bureau, dans l’espoir que je la vois et l’abatte sans pitié sûrement, sinon se serait-elle tenue tranquille. Celle-là ne tarda pas à rejoindre ses camarades dans la poubelle. Heureusement, elle était aussi petite que la première, ce qui démantelait ma théorie comme quoi elles seraient toutes plus grosses les unes que les autres jusqu’à leur boss qui viendrait à bout de moi.

Et cette fois, c’est fini ? J’ai très envie de vous dire oui, et je vais le faire car depuis la petite dernière, plus aucune horrible bête n’a pointé le bout de son nez –si tant est que ça ai un nez. Alléluia !

Rectification ! En voilà venir une de par-dessous ma fenêtre. Ecrasée aussi sec. Non, vraiment, je suis sûre d’être maudite maintenant, ce n’est pas possible sinon. Les égyptiens ont eu les grenouilles et les criquets, moi j’ai les petites bêtes dégoutantes. Super ! Il va falloir que je m’informe de la faute qu’avaient commit les égyptiens, elle pourrait être similaire à la mienne, et peut-être ont-il trouvé le moyen de s’en sortir avant de se faire exterminer. Et si ma solution s’appelle « S.O.S insectes en folie » -la marque des exterminateurs des petites bêtes dégoutantes, mes dieux !-, je n’hésiterais pas une seule seconde !

En tout cas, mon estomac est lui aussi sous l’effet d’une malédiction, car depuis la deuxième bête, il a décidé d’être très susceptible. J’espère simplement qu’il ne va pas se décider à sortir de mon ventre, il m’obligerait à aller dans la salle de bain, lieu où tout à commencé.

Bref, je crois que c’en ai fini pour aujourd’hui. Du moins, je le souhaite de tout mon petit cœur. Et ça serait encore mieux si ça pouvait être pour toujours.

Pitié ?

 

 

FIN

#C.

6 février 2012

Qui est-ce ?

Prénom : Marine

Âge : 18 ans (14.06.1993)

Lieu d'habitation (de la semaine) : Nantes

J'aime : le chocolat, la (bonne) musique, les soirées gourmandes.

Je n'aime pas : les araignées.

Quelque chose à dire ? La vie est belle ! Haha !

 

 

 

Prénom : Coralie

Âge : 18 ans (29.09.1993)

Lieu d'habitation (de la semaine) : Nantes, voisine de Marine.

J'aime : le jaune, la littérature, l'anglais, les soirées gourmandes.

Je n'aime pas : les insectes, ne pas avoir de chauffage l'hiver.

Quelque chose à dire ? Tcheck !

6 février 2012

Welcome there !

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Vous découvrirez sur notre page des écrits personnels que l'on souhaite partager, nos coups de cœur ou de gueule, et des résumés des jours heureux que nous passons en tant qu'étudiantes, le tout illustré de photos. J

Et comme a dit Oscar Wilde, "les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais", alors nous n'hésiterons à vous faire part de nos folies sans craindre les jugements : car, après tout, nous sommes tous un peu pareil, un peu (beaucoup) délurés, mais chacun à sa façon.

Bonne visite ! :)

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